La cartographie dynamique permet d’aller au devant des publics, de décider des actions « hors les murs » et de choisir les collections propres à chaque bibliothèque de quartier.

Elle contribue aussi à nouer des partenariats spécifiques, en fonction des besoins identifiés, par exemple en direction des écoles.

Le taux de couverture insatisfaisant sur un IRIS, croisé avec d’autres données comme l’âge, le niveau de diplôme, la mobilité peuvent nous amener à aller au devant des publics. 

Par exemple, si un secteur montre un taux important d’immigration ou de personnes sans diplôme, cela peut conduire à renforcer certaines collections en VO ou Langues étrangères ou « facile à lire ».